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GALERIES PHOTOS / Images équatoriennes

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La côte: viva la playa y La Barquita !                              Cliquez ICI
D'Otavalo à Baños                                                          Cliquez ICI
Quito, à la moitié du monde...                                        Cliquez ICI

BAÑOS III / Après les bains de la vierge
                     on dort comme des anges!

5 mai / C'est un Belge qui nous l'a dit en sortant des bains de la vierge, et il n'avait pas l'air de plaisanter: "Baños et ces thermes chauffé par le volcan, c'est super. Pour sûr, je reviendrai... une fois!". Cernée de flancs abrupts mais verdoyants, au pied du volcan Tungurahua (5023 mètres et en toujours en activité depuis sa dernière éruption qui avait nécessité une évacuation générale en 1999...), Baños est en effet, calme, accueillante, appaisante. Même si en cas de nouvelle éruption, les coulées de lave recouvriraient la ville en quinze minutes... Après une trempette dans les bains de la vierge (de 36 à 50°C, chaud devant!), et après un bol de "morocho" (maïs blanc cuit dans du lait sucré) on dort comme des anges. Et dans cette vallée jolie, les cascades et "tarabita" (tyrolienne d'ici qui passent d'un flanc à l'autre) permettent de belles balades et de jolis frissons. On a aussi mangé de suculentes truites qu'on venait de pêcher dans un vivier. En se faisant "bouffer" par les "nonos" (ptites mouches qui mordent...). Du coup, Nath a passé une partie de la nuit de rêve au Luna Runtun avec les pieds dans de l'eau glacée...

BAÑOS II / Camille et Gio à l'assaut du Turungahua

Pendant que Nathalie et les filles "faisaient" un peu d'école, Camille et papa sont partis à l'assaut du Turungahua (5016 m). Même en partant depuis le Luna Runtun, l'hôtel d'Olivier Currat, perché sur un nid d'aigle à 2200 m, au-dessus de Baños, c'est rude et ça grimpe fort. Après 20 minutes d'ascension, un panneau annonce le mirador à 800 mètres. Un très long moment plus tard, nouveau panneau: 300 mètres... On n'allait pas renoncer si près du but. Malgré les nuages, on s'est hissé sur le dernier bout de sentier. Pour voir le majestueux cône du volcan drapé dans des nuages... Mais après cinq minutes, la récompense est arrivée. L'écran banc s'est déchiré, laissant voir le sommet, "et la fumée qui sort sur le côté", a crié Camille. Ravie. Et son papa aussi.

BAÑOS I / Melcocha et chute de la gorge du diable...

Depuis Baños, on est parti en excursion dans la vallée des volcans. Au programme, outre la traversée de la vallée sur une tarabita vertigineuse, on a marché jusqu'à la gorge du diable, cette cascade explosive où ont été tournées des scènes du film Proof of llife avec Meg Ryan. De retour dans les rues de Baños, on a admiré la fabrication du melcocha, cette pâte de canne à sucre dont on tire de doux bonbons. Attention les dents...!

 


Imposant monument, jolie ligne orange, photo sympa...
Le hic, c'est qu'ils se sont trompés dans les calculs!
La vraie ligne est au musée du chemin du soleil, 200 mètres à côté.

MITAD DEL MUNDO / Sur la ligne de l'équateur, on fait des                                   expériences amusantes, voire ahurissantes!

3 mai / Le plus rigolo à la ville du milieu du monde, dans les faubourgs de Quito (qui en quechua signifiait déjà centre du monde!) c'est que le gigantesque monument érigé pour marquer le point zéro (latitude 0° 0' 0'') sur la fameuse ligne équatoriale (qui coupe la terre en deux à la longitude 78° 27' 08'') n'est pas à la bonne place! Une petite erreur de calcul est si vite arrivée... La jolie ligne orange qui traverse le site, et sur laquelle tous les visiteurs se font moultes photos, n'est pas l'équateur! Pour poser un pied dans chaque hémisphère, il faut aller dans le petit "musée" d'à côté, Inti Nan, où parole de GPS et expériences à l'appui, on est sur la ligne.

L'eau: côté nord, l'eau s'écoule en tournant dans le sens anti-horaire. Evier déplacé deux mètres au sud de la ligne, l'eau s'écoule en tournant dans l'autre sens. Et pile-poil sur la ligne? Avouez que cela vous titillee, hein?! Hé bien oui: l'eau tombe tout droit à traver le trou au fond de l'évier. Promis, juré, craché!

L'oeuf: sur la ligne, les forces de la rotation terrestre s'annulent, il est donc plus facile d'y faire tenir un oeuf debout sur une tête de clou! On y est arrivé et on a même reçu un diplôme!

Le poids: comme la terre est bombée - un peu comme une mandarine -, on est plus loin du centre de notre planète lorsqu'on est sur l'Equateur. Résultat sur la balance: on pèse environ un kilo de moins! Ca, c'est du régime!

Les muscles: Anna-Maria et les autres guides se font un malin plaisir à tester la force des visiteurs. A quelques pas de la ligne, il leur est très difficile d'écarter le cercle que le visiteur forme en serrant pouce contre index ou de faire descendre les deux poing joints par les visiteurs devant leur poitrine. Et sur la ligne? On a beau y mettre toute sa concentration. Impossible de garder pouce et index serré. Et ses bras n'ont pas pu résister au poids... Ce n'est pas un effet psychologique. Juste une histoire de lois de la physique, qui fait que les forces de la rotation terrestre s'annulant sur la ligne, notre propre force est moindre. Si vous n'avez pasa tout compris, ne comptez pas sur Gio: il avait eu 2 et demi à l'oral de physique au bac...

OTAVALO / Je dirais même plus, quel marché!

30 avril / Incontournable, le marché d'Otavalo. Le trajet en bus depuis Quito est déjà un spectacle en soi. Comme le moment du retour approche, on a profité d'acheter deux ou trois... dizaines de souvenirs... et un sac pour les ranger. Y en aura donc pour tout le monde! La marche dominicale sur les hauts de cette charmante ville, du côté du lac San Pablo s'est avérée enchanteresse. Mais au pied des gigantesques volcans, on se sent quand même drôlement petits...

Le gros sac noir, c'est pas une poubelle. C'est une partie des cadeaux-souvenirs!

QUITO II / Dans Quito, en tacot!

On a choisi l'Auberge Inn au pif. Parce que le nom nous a fait sourire, et parce qu'elle a bonne réputation dans nos guides. Et puis le patron, Alain, vient de Bienne, ville voisine de notre Chaux-de-Fonds chérie. La bonne surprise, c'est que le restaurant au bas de l'Auberge Inn est tenu (et fort bien tenu) par... un Chaux-de-Fonnier! Et c'est justement chez lui que Nénette et Jean-Claude nous avaient "ordonné", par e-mail, de passer. Une pizza offerte par eux et tout le clan Kaufmann-Héritier nous y attendaient! Sympa. De quoi partir d'un bon pas à la découverte de Quito. Ou plutôt en tacot! C'est le moyen le plus rapide, et quand on voyage à cinq bon marché, de se déplacer dans le dédale de cette capitale compliquée. On a aussi essayé le métrobus, qui grâce à sa ligne réservée file comme un fou à travers le trafic. Accrochez-vous...

BONJOUR QUITO! / Arrivée en douceur au petit matin, ou...
                                du choco à Quito!

28 avril / Après une nuit de bus, notre arrivée à Quito a été un de ces moments étranges, où tout s'enchaîne en douceur, sans heurts. Où l'espace-temps devient comme une longue jubilation. Au lever du jour, la capitale équatorienne nous a charmé. Premières lueurs, premier rayon de soleil sur les sommets... Même la montée en puissance du vacarme des moteurs n'a pas brisé l'enchantement. Pourvu que ça dure! De l'ambassade de Suisse à la poste, on a pourchassé LE paquet qui nous attendait. Véro, Vincent et leurs filles nous ont gâté: on s'est mis du chocolat jusque là, la la lala! Muchas gracias compañeros!

PUERTO RICO / Tout le monde embarque...
                                      ... dans la Barquita de Patrick!

 

 

 

 


Il a eu le coup de foudre pour cette plage de rêve. Alors, c'est là qu'il a construit le petit hôtel dont il rêvait. Et pour taper dans l'oeil des plagistes équatoriens et des touristes, Patrick Pécaut, un Neuchâtelois vrai de vrai made in Bevaix, a eu l'idée de construire le restaurant-bar-réception en forme de galion espagnol, tout en bois. D'où le nom de La Barquita. Une barque pas si petite que ça (18 mètres de haut, près de 20 de long), que le capitaine mène comme un chef depuis cinq ans maintenant. Avec quinze chambre au charme rustique, des hamacs, le ponton qui mène à la plage, des plats et des cocktails délicieux, on a été à bon port. Farniente, jeux dans les vagues et marche sur la plage, billard et musique. Avec pour ponctuer en beauté le séjour une expédition dans la jungle, guidée par Patrick, avec bain d'argile dans la rivière.

      
Camille et son premier masque. On a joué aux sauvages avec Kenia et Patrick!
L'argile, ça rend beau et c'est surtout rigolo!


PUERTO LOPEZ y PUERTO RICO /
                                      
Promis les baleines, nous reviendrons!

D'abord à Puerto Lopez, puis surtout à Puerto Rico, nous avons profité de la côte équatorienne. Immenses plages, immenses vagues... Et immenses animaux? Hélas non. Avril, c'est encore trop tôt pour l'observation des baleines à bosses. De toute façon, on ne savait pas que plus de 300 de ces somptueux géants des mers viennent chaque année se reproduire autour de l'Isla de la Plata. Dès juin, et jusqu'en octobre, les mâles se livrent des concours de figures au dessus des flots. Nous avons vu les photos de ces cétacés de 15 à 20 mètres pesant 40 tonnes jaillir de l'eau, avant d'y retomber dans un bouillonnnement d'écume... Promis, juré, craché, on reviendra une fois à la saison de ce festival nuptial.

POLITIQUE / Adios Gutierez... Bonjour chaos...

20 Avril / Déjà avant de partir pour Guayaquil, on savait la situation tendue à Quito. Au retour des Galapagos, c'est dans l'avion que la voix du capitaine a annoncé la destitution du président Gutierez, réclamée par de nouvelles grosses manifestations, réprimées avec violence surtout la veille. Un journaliste chilien est mort, asphyxié par l'une des 1500 bombes lacrimogèmes utilisées par les forces de l'ordre... Mais à entendre certains Equatoriens au bord de la crise de nerf, ce nouveau gouvernement ne parait guère pouvoir relancer le pays. Quant à nous, c'est sur la côte, loin de ce chaos, que nous sommes allés suivre l'évolution de la situation. Qui s'est vite stabilisée. Car comme nous l'ont dit par e-mail deux amis espagnols une fois rentrés au pays, une crise en Equateur, c'est beaucoup de bruit pour très peu de changement...

GALAPAGOS VI / La jubilation est aussi sous l'eau

  
En attendant les images de notre petit appareil sous-marin, voilà une raie et un
requin pointe blanche (Photos signées Emmanuelle)

Quand on choisit bien la saison, les eaux des Galapagos, fréquentées par rien moins que vingt courants marins différents, sont agréables pour la baignade. Et pour l'observation sous-marine. Lors des séances de snorkling quotidiennes, on s'en est mis plein la vue. Quelques tortues marines, deux requins, des poissons perroquets... Et surtout la rencontre tant espérée avec des lions de mers. Une maman et deux petits, qui sont venus batifoler avec nous. In-cro-ya-ble! I-nou-bli-a-ble! Et lors de la dernière plongée dans le courant de la Couronne du diable, un feu d'artifice de poissons de toutes sortes... Et pour voir tout ça d'encore un peu plus bas, Giovanni n'a pas résisté à une double plongée à Gordon Rock, lors des trois jours passés à Puerto Ayora. Là aussi, gros courant. Et après une première imersion "normale" (tortues, murène et poissons), le rêve, le délire, la jubilation totale! Pensez: trois requins marteaux (pas des gros, mais si beaux!), une raie manta, un banc de raies, des requins de récif à pointes blanches par ci, par là (et s'i vous plait pas trop près, merci!). Entre autres... Même Hugo, le maître plongeur habitué des lieux était tout excité en ressortant de l'eau. Photos sous-marines suivront!
                                                                          Un lion de mer vient d'attrapper un                                                                           poisson pour son dîner. Un pélican                                                                           attend de voir s'il va le lâcher!


Albatros: un envol d'envergure!

GALAPAGOS V / Si belles et si différentes!

D'une île à l'autre, la magie des Galapagos ne cesse de surprendre. Si belles et si différentes à la fois. Par leurs couleurs, leurs rivages, leur végétation, et bien sûr leur faune unique, aucune des îles ne se ressemblent. Les lions de mer sont partout. Les iguanes terrestre ou marins, les lézards de lave. Les fous à pattes bleues, les frégates dont les mâles gonflent un ballon rouge sous leur cou, les albatros, le "tropical bird", oiseau des tropiques, le fou masqué, les pélicans... Au fil des descentes à terre et des promenades dans ces lieux inhabités, on s'ennivre de ce paradis des animaux. Pour finir en beauté, c'est le long de la baie des tortues que nous avons passé le dernier après-midi. Une plage de sable interminable, trop dangereuse pour la baignade, mais qui se prolonge par une lagune paisible aux eaux turquoises... C'est là qu'on a dit adieu aux Galapagos.

  
On a marché jusqu'à la baie des tortues. Et dans la lagune qui la jouxte
on a savouré un bain de rêve.

GALAPAGOS IV / Le spectacle commence au quai!

Aux Galapagos, le spectacle commence alors qu'on attend au quai le moment d'embarquer. Un bruit sous les piliers du ponton? Une dizaine de lions de mer font leur sieste à l'ombre, deux mètres derrière nous! Sur les rochers à nos pieds, les fameux crabes rouges. Et dans les eaux vertes du port de Baltra, une raie passe! Du ciel, les piqueros fondent sur les flots, bec en avant, pour essayer d'aller croquer du poisson jusqu'à trois mètres de profondeur! Le spectacle est partout. Le paradis est à nous...

   
Au centre de l'Île de Santa Cruz, on part observer les fameuses tortues géantes
en liberté. Et on a tous cherché une nouvelle maison!

GALAPAGOS III / Scrutez le programme autant que l'horizon!

Le gros scandale (le mot n'est pas trop fort) de ces tours, c'est la présentation mensongère des programmes. Résultat: des personnes payant pour 4 jours embarquent à 13 h le premier jour, et sont débarquées à 8 heures au matin du quatrième jour. Ce qui ne laisse que deux jours plein sur le bateau! Au prix de la journée, c'est inadmissible. Si ce n'est pas de l'escroquerie organisée, cela y ressemble trop fort pour ne pas protester auprès du ministère du tourisme. Ce que tant la Française et la Hollandaise qui ont subi ce traitement ont promis de faire. Attention aussi au jour qui offre le programme Station Darwin-Parte Alta-Baltra. Sachez que comme il ne comporte que des visites sur l'Île de Santa Cruz, plus l'éventuel transfert à l'aéroport, il est vraiment très cher. Et il peut tourner très court! Nos deux Italiens ont ainsi parcouru au pas de course les enclos de la Station Darwin, avant d'être reconduit presto à l'aéroport pour leur vol. Leur journée s'est arrêtée à 9h30. Compensation pour le repas de midi manqué, pour la visite des tortues en liberté et du tunnel de lave au centre de l'île? Zéro. Quant à nous, après d'âpres palabres avec une matronne acariâtre, nous avons fini par obtenir le transfert à l'aéroport qu'elle ne voulait pas nous accorder. Elle nous a même traîté de menteurs, sans s'excuser lorsqu'on lui a montré que ce qu'on avançait figurait noir sur blanc sur le descriptif de notre tour! Que son programme ait changé, que l'agence n'ait pas adapté son texte, tout cela n'est pas le problème du client. Un bon conseil: scrutez votre programme autant que les horizons de rêve qui vous entourent. Cela nous a permis de "gagner" la dernière demi-journée prévue à notre programme, et que guide et équipage semblaient vouloir oublier un peu vite...

GALAPAGOS II / Quel bateau choisir?

Pour ce qui est du niveau du bateau (économique, tourisme, tourisme supérieur, première classe), à moins d'opter pour la croisière de luxe très, très chère, autant choisir bon marché. Les îles sont les mêmes, les visites aussi. Alors... En plus, avec un "tourisme supérieur" en bout de course comme le Free Enterprise, pourtant présenté sans vergogne comme "first class" par son agence Mora Tours, on se retrouve de toute façon un ou deux niveaux en-dessous de ce qui est promis. Douche au goutte à goutte, odeur de diesel, reflux de l'eau usée, bruit, climatisation récalcitrante et très irrégulière, personnel glauque... On s'en est joyeusement fiché, pour profiter au maximum des décors, sur terre et dans l'eau, ainsi que de leurs formidables habitants, présentés par des guides très sympas et plutôt compétents. La nourriture? Abondante, mais tellement hétéroclite qu'il devenait difficile de s'y retrouver. On a été en tous cas moins sévère que les deux messieurs italiens repartis outrés de ce que le cuisinier leur a infligé: "Productos, semi-basura. Cocina, basura". On ne traduira pas pour ne pas heurter les esprits sensibles... Quant à la fameuse agence Galasam basée à Guayaquil, si elle permet effectivement d'avoir un aperçu très large des offres du moment et dernière minute, elle baigne sans scrupule dans l'histoire. Chez eux aussi, on nous avait assuré que tout l'intérieur du bateau venait d'être rénové. Et c'est chez eux que les deux malheureux italiens et notre amie française avaient réservé leur tour tronqué...
                                                                         C'est notre copine française Emmanu-
                                                     elle qui nous a filé cette belle photo du bateau. Merci!

GALAPAGOS I / Choisissez votre croisière sur place!

On a failli choisir un tour économique sur un petit bateau. Pour finir par nous décider pour une croisière sur un bateau plus grand. Au vu de la photo, on se serait en effet marché dessus avec nos filles sur la coque de noix un peu moins chère. Et surtout, la menace du mal de mer, bien plus probable sur une embarcation plus petite, a achevé de nous décider. Notre grande erreur a été de croire les guides de voyage qui prétendent qu'il est difficile et aléatoire de trouver de bons tours une fois sur les îles Galapagos. Si cela est peut-être valable en haute saison, c'est archi-faux dans les temps creux comme les semaines qui suivent Pâques. On a payé plus cher à Guayaquil pour un tour qui avait des places libres jusqu'au dernier moment à Puerto Ayora, à des prix plus bas. Et une fois sur les îles, on peut en deux jours d'aclimatation faire le tour des offres dernière minute, à meilleur prix.

GUAYAQUIL II / Un mini-zoo hôtel dans la ville

Pour nous mettre dans l'ambiance "nature" des Galapagos, rien de tel que le Dreamkeaper Inn. Son seul défaut est d'avoir un nom anglais, alors que "attrappe-rêve" en français, c'est si joli... En plus, la patronne est une Québecoise. Non mais, Isabelle! Son petit hôtel est un véritable mini-zoo. Singes nains, perroquets, tortues, un superbe ara et un chat à poil long très classe. Rien de tel pour nos préparer à aller découvrir les îles où Darwin mit au point sa théorie de l'évolution des espèces.

  

GUAYAQUIL / Une ville pas si effrayante que ça

Première bonne surprise à Guayaquil: le taxi qu'on a trouvé pour aller à notre auberge était conduit par une dame! On lui a dit notre plaisir de rouler avec la première taxiwoman de notre tour du monde. Ce qui l'a fait sourire. "Vous ne risquez pas d'en voir beaucoup d'autre que moi! Je suis la seule de tout Guayaquil", a rigolé Miriam. Au revoir madame! Et si Guayaquil n'est pas la plus belle des villes, elle ne nous est pas pour autant apparue comme la redoutable cité mal fâmée décrite dans plusieurs guides. On s'est promené dans une ambiance décontractée dans le centre, où on est retourné deux fois pour régler la question de notre tour aux Galapagos. Car c'est décidé: on y va!

COUP(S) DE COEUR

Wouahouu!

COUP(S) DE BLUES

Bouuuh!

COUP(S) DE FOURCHETTE

Miam, miam!

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Coup de coeur
Coup de fourchette
Coup de blues

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